Les insurgés islamistes dans le Sahel ont régulièrement mené des incursions dans les pays côtiers d'Afrique de l'Ouest, dont la Côte d'Ivoire. Jusqu'à présent, Abidjan est parvenu à les repousser, grâce à la mise en place de mesures sécuritaires et socio-économiques. La Côte d'Ivoire devrait redoubler d'efforts sur ces deux fronts.
President Ouattara reshuffled govt in wake of landslide victory in September local elections, while opposition remained in disarray.
Ouattara revamped leadership team, keeping tight grip on power. After ruling party Rally of Houphouëtists for Democracy and Peace (RHDP) won landslide victory in Sept regional and municipal elections, President Ouattara 6 Oct dismissed PM Patrick Achi, and 16 Oct appointed governor of Abidjan and RHDP heavyweight Robert Beugré Mambé as new PM. Appointment came as a surprise to many observers who expected more political appointment giving indication about Ouattara’s succession plans ahead of 2025 presidential election. Mambé 18 Oct announced new govt mostly composed of previous govt’s key figures; reconciliation ministry abolished, which suggests that opposition’s poor performance in local elections bolstered RHDP confidence; Mambé himself took charge of sports ministry as country prepares to host Africa Cup of Nations football competition in Jan. Meanwhile, senators 12 Oct elected Ouattara’s close ally, former FM Kandia Camara, as head of upper legislature.
Opposition struggled to come to terms with electoral defeat. Former President Laurent Gbagbo 6 Oct circulated memo within his opposition party African People’s Party-Côte d’Ivoire (PPA-CI) announcing audit of local election campaigns; 23 Oct reshuffled PPA-CI leadership, notably replacing party’s executive president, sec gen and spokesperson. Amid power struggle within Democratic Party of Côte d’Ivoire (PDCI) following death in Aug of long-time leader Henri Konan Bédié and electoral defeat in Sept, PDCI 14 Oct scheduled extraordinary party congress for 16 Dec to elect new president.
Dans cet événement en ligne, nous avons exploré les enjeux sécuritaires concernant le nord de la Côte d’Ivoire.
Acquitté le 31 mars 2021 par la Cour pénale internationale, l’ancien président Laurent Gbagbo est libre de retourner en Côte d’Ivoire. Dans ce Q&A, l’expert de Crisis Group Wendyam Hervé Lankoandé analyse les enjeux et les conditions de ce retour, prévu le 17 juin.
Le scrutin présidentiel prévu pour le 31 octobre en Côte d’Ivoire suscite de nouvelles violences, dans un pays marqué par de profonds clivages politiques. Pour que ces élections se tiennent dans le calme, les différents acteurs politiques ivoiriens, accompagnés par des institutions régionales et continentales, devraient s’accorder sur un court report du scrutin.
L’élection présidentielle prévue en octobre en Côte d’Ivoire risque de raviver les tensions politiques profondément ancrées du pays. Dans cet extrait de notre Watch List 2020 Édition Printemps pour les responsables Européens, Crisis Group encourage l'UE et ses États membres à promouvoir un dialogue continu entre les différents partis et à développer des structures d'observation électorale.
Face à la percée jihadiste au Burkina Faso, porte ouverte sur les pays du Golfe de Guinée, ceux-ci craignent des attaques sur leurs territoires. Les Etats de la région devraient améliorer le partage du renseignement, renforcer les contrôles aux frontières et renouer un lien de confiance avec la population.
This week’s summit of African and European leaders in Abidjan is a chance to find a win-win solution.
With the UK’s withdrawal from the EU now imminent, a dramatic power shift is changing the balances behind the scenes of the fifth African Union-European Union summit this week in Côte d’Ivoire. It is an opportunity for the EU to forge a new Africa strategy.
Receive the best source of conflict analysis right in your inbox.
This site uses cookies. By continuing to browse the site you are agreeing to our use of cookies. Review our privacy policy for more details.